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Voyez passer les orphelines

Roman de Pierre-Marie Prat

Ania, la quarantaine, professeur d’histoire dans le sud de la France, souffre d’un mal de vivre depuis l’adolescence. Tout bascule lorsqu’elle croise par hasard la route de celui qu’elle recherche depuis des années et qu’elle tient pour responsable de ses maux.

À la poursuite d’un passé qui se dérobe, l’héroïne nous entraîne dans une longue quête obsessionnelle, avec, comme toile de fond, la guerre d’Algérie et les exactions commises par les belligérants. 

À partir d’une histoire documentée qui éveille toujours les passions, l’auteur nous confronte à la parole des bourreaux et victimes et au thème universel de la banalité du mal.

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AVIS DES LECTEURS


« Je voulais vous dire beaucoup de bien de votre livre, et puis le temps passe. Je l'ai lu très vite car passionnant autant que surprenant et dur. Belle histoire cependant. Il fait partie de ces écrits qui restent en mémoire, en noir... et blanc heureusement. Chapeau ! et merci. »

Joël


« Je vous tire mon chapeau de ce témoignage et de tout ce que vous avez fait comme recherches sur cette guerre d'Algérie. Le roman est poignant avec une aisance dans l'écriture et le suspens, lesquels donnent envie au lecteur de savoir la suite... »

Bernard


« Dès que je l’ai commencé, je ne l’ai plus lâché ! J’ai appris aussi beaucoup de choses sur la guerre d’Algérie qu’en fait je ne connaissais pas vraiment. L’écriture est très soignée. J’ai aussi bien ri à certains passages avec des expressions que je ne connaissais pas. »

Alice


« Ces 200 pages avalées sur une journée mettent en scène une trame narrative intéressante avec des fulgurances aux accents camusiens qui me rappellent les descriptions poétiques de Noces.

… Une trame romanesque autour de cette quête identitaire d'Ania qui veut à la fois connaître les sources de son origine et comprendre les origines de la violence et du mal en tentant de retrouver le bourreau de ses parents. On ne peut qu'être touché par le sort d'Ania qui subit trois fois la mort de ses parents…

Étant sensible tout autant à la forme qu'au fond, j'ai trouvé ce roman bien écrit avec ce mélange d'épithètes judicieusement choisis… la tension finale provoquée par le dévoilement des identités, la confrontation dramatique ainsi que le rebondissement final … font du dénouement, un beau moment. »

Antony



« J’ai dévoré votre roman  il m'a passionné de la première à la dernière page. Navrée d’apprendre toutes ces atrocités faites à ces malheureux innocents. Mon père est né à Oran en 1904 et tout le monde s’entendait bien. Merci pour ce bon roman. »

Marie-Louise


« Au-delà des faits de guerre, ce que j'ai apprécié dans ce livre c'est cette recherche du secret. L'héroïne découvre petit à petit ce qu'on lui a caché, c'est en fin de compte ce qui se passe dans beaucoup de familles. Vous nous faites découvrir progressivement la terrible vérité et c'est ce qui nous tient en haleine… »

Michèle


« … Voilà un personnage nouveau dans le paysage sociétal post-colonial français ! De part son origine, sa formation, son éducation voire son instruction ce personnage est très original parce qu'ambigu voire schizophrène. Et c'est cette schizophrénie, que cette femme porte en elle et dont elle est consciente, qui apporte une lecture nouvelle de nos souvenirs post-coloniaux algériens. »

Loïc


« J'ai trouvé que ce livre présente un étrange mélange: du style, du langage tantôt licencieux, tantôt vernaculaire, une extrême violence, de la poésie, et de l'humour !

Je ne m'y suis pas du tout ennuyée, et je dirais même que vous tenez le lecteur en haleine du début jusqu'à la fin.

Et puis j'ai trouvé la chute de la fin assez géniale. »

Julian


« Du rythme, une histoire bien documentée et bien étayée des deux côtés. Tu le prends tu ne le lâches plus. Donc merci pour ce bon moment et la manière élégante et érudite dont vous avez fait preuve sur cette partie de l’histoire encore mal cicatrisée. Elle pourrait faire un très bon scénario de B.D. voir de film, tellement les images viennent à l’esprit. »

Jacques

 
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